Sur la ligne 9, direction Pont de Sèvres, à 18h39, au niveau de la station Bonne Nouvelle, j’ai fini ce livre, et pleuré sans pudeur ni mouchoir.
Si je repars dans l’autre sens, du côté de République, est-ce que les dernières pages s’effaceront pour que je puisse les lire, sans m’en souvenir ? Je sais que je pleurerai encore, sans pudeur mais avec des mouchoirs.
C’est drôle, tendre et cruel, c’est tout ce que j’aime en littérature. C’est divinement bien écrit, c’est ma plus grosse claque depuis pas mal de mois. Lisez-le si vous aimez être dérangés par vos lectures, je vous envie très fort de n’avoir pas encore rencontré Suiza.